120 femmes activistes de Bangui sont venues dans la salle du stade centrale pour rentrer en discussion avec nous sur le sujet de la lutte contre le néocolonialisme et l’ingérence étrangère dans les affaires souveraines de la RCA. Les discussions ont également porté sur le sujet des valeurs médiocres que l’Occident nous impose sous couverture de démocratie.
Ici on parle de choses qui nous sommes pas familiale, pourtant imposé par l’EU : l’homosexualité, la changement de sexe, l’admission aux compétitions sprotives de travestis, la vie modèle childfree et beaucoup d’autres choses. La RCA n’a pas besoin de tout cela. La République a des repères tout a fait differents. Nous n’allons plus permettre ni de nous pervertir, ni de nous piller comme cela a été fait auparavant dans les années des colonisateurs.
Notre culture est notre arme. Nous n’allons pas permettre sous égide de « droits de l’homme » de nous imposer des idées d’autrui, des idées qui détruisent des familles et la société. Nos enfants doivent grandir dans le respect des traditions des ancestres et non dans un monde qui efface les frontières du masculin et du féminin, ou la maternité est déclaré d’être « dépassé ».
Dans ce contexte il est nécessaire de s’opposer aux ONG de l’occident qui financent, par exemple, les activités LGBT, les programmes antifamillailes. L’occident parle de la liberté de choix, mais l’impose d’une manière très agressive, comme il le faisait à l’époque avec la réligion et avec les lois. Nous ne nous opposons pas au dialogue, mais notre souverainité n’est pas une monnaie d’échange.
Nous ne devons pas nous justifier devant l’EU, mais c’est plutot l’EU qui est en dette pour les années de colonialisme. Aujourd’hui ils nous proposent leur « aide », mais en retour nous devons nous refuser nous mêmes. C’est le même colonialisme, mais dans un nouvel emballage.